FAQ

Notre foire aux questions sur l’utilisation de WildTrax.

Générale

WildTrax est une plateforme en ligne de stockage, de gestion, de traitement et de partage de données biologiques provenant de capteurs environnementaux. WildTrax offre des outils pour gérer de grands ensembles de données et permet d’aborder des questions de grande envergure à l’aide d’approches analytiques novatrices. WildTrax est configurée pour traiter les données provenant d’enregistreurs autonomes, des caméras autonomes, et de points d’écoute.

WildTrax est utile aux organisations qui travaillent avec des appareils photos et des enregistreurs autonomes. Il vous suffit de créer à créer un compte en ligne pour commencer à l’utiliser. Écrivez à info@wildtrax.ca ou consultez Le guide exhaustif de WildTrax pour savoir par où commencer.

WildTrax offre plusieurs avantages aux utilisateur(-trice)s de capteurs environnementaux, y compris:

  • une vitesse de traitement supérieure
  • des données d’une grande précision et de haute qualité grâce aux tableaux de vérification;
  • un accès illimité à vos données;
  • des options intégrées et flexibles de partage de données avec vos équipes et vos collaborateurs et collaboratrices;
  • des approches normalisées de collecte de données dans des réseaux d’organisations et des communautés d’utilisateur(-trice)s;
  • l’occasion de découvrir des données provenant de régions qui vous intéressent et d’aborder des questions écologiques de grande envergure;
  • un répertoire centralisé d’archivage de données à long terme.

Les capteurs peuvent être déployés de plusieurs façons selon les objectifs de surveillance. Vous trouverez des exemples de méthodes et de protocoles ici.

Vous trouverez un résumé des méthodes de configuration de l’ABMI ci-dessous:

Joelle Chille Cale Camera ARU Set up Vegreville

Choisissez un champ de vue non obstrué par de la végétation ou d’autres obstacles dans un rayon d’au moins dix mètres (tenez compte de la croissance de la végétation). Disposez la lentille de la caméra à un mètre du sol et réglez l’objectif sur le piquet de référence (voir le diagramme) à 80 cm du sol. Votre zone de détection cible devrait se situer à environ trois à cinq mètres de la caméra. Orientez la caméra vers le nord (idéalement) ou vers le sud pour éviter des problèmes de visibilité en raison d’un ensoleillement direct.

 

bu aru visits

Placez l’enregistreur autonome à un mètre et demi de hauteur et orientez-le vers le nord. Assurez-vous que les microphones ne sont pas obstrués par des feuilles, des branches ou le tronc de l’arbre où il est fixé, le cas échéant. Choisissez un arbre ou un support solide, comme un poteau, pour éviter que le dispositif ne soit renversé par de grands vents ou de gros mammifères.

La création d’un compte et la configuration d’une organisation et de projets sont gratuites.

Des exceptions peuvent s’appliquer lors du téléversement de plusieurs téraoctets de médias dans une seule organisation (c.-à-d., des dizaines de millions d’images ou l’équivalent de plusieurs années de captations réalisées par enregistreurs autonomes), auquel cas des coûts pourraient s’appliquer pour couvrir les frais de stockage. Cela dit, les projets de taille raisonnable sont gratuits. Écrivez à info@wildtrax.ca pour connaître toutes les options qui s’offrent à vous, ou à la Bioacoustic Unit si vous avez besoin d’une grande capacité de stockage de données à long terme.

Votre vitesse de téléversement et de téléchargement sont des facteurs limitatifs lorsque vous vous connectez à WildTrax. Ce dernier tente de résoudre ces problèmes en fournissant un chargement asynchrone et en mettant en cache les ensembles de données volumineux. Mais tenez compte du volume de données que vous téléchargez et de votre connectivité d’Internet avant de continuer.

Caméras autonomes

Actuellement, WildTrax n’a pas rencontré de marque et de modèle d’appareil photo qu’il ne prend pas en charge. Cependant, il ne peut pas remplir les champs qui n’existent pas dans les données Exif de l’image (par exemple, « Sequence » ou « TriggerMode »). S’il semble que vous rencontrez des problèmes que vous soupçonnez d’être dus à la marque ou au modèle de votre appareil photo, veuillez contacter support@wildtrax.ca. Vous pouvez également vous référer au ExifTool Tag Names de Phil Harvey pour déterminer quelles étiquettes sont disponibles pour la marque et le modèle de votre caméra.

Si vous achetez des caméras pour la première fois, les caméras Reconyx (p. ex. modèles HF2, HF2X, PC800, PC900, HC600) sont parfaits pour les nouveaux utilisateurs car ils sont conviviaux et intuitifs.

Les cartes SD SanDisk de haute qualité ou les cartes SD Kingstone Classe 4 et 10 sont fréquemment utilisées. Nous ne recommanderions rien en dessous d’une vitesse d’écriture de classe 4.

WildTrax incorpore les éléments suivants :

(1) Le Megadetector v5 de Microsoft, qui identifie automatiquement les images de véhicules, d’animaux, d’humains ou aucun.
(2) Le Megaclassifier v0.1 de Microsoft
(3) Un modèle « personnel / configuration » conçu pour filtrer les images d’humains lors du déploiement et de la récupération de la caméra Lorsqu’ils sont activés dans les paramètres de votre projet, ces paramètres filtrent et étiquettent automatiquement vos images.

Cela se traduit par moins de temps passé à passer au crible les faux feux, et plus de temps passé à se concentrer sur les espèces que vous souhaitez étiqueter

Les caméras peuvent parfois capturer des images qui ne contiennent pas d’animaux sauvages – les photos accidentelles – en raison du mouvement de la végétation ou des changements de la lumière du soleil. Ces photos accidentelles peuvent augmenter le coût et le temps de traitement. WildTrax contient un modèle permettant d’identifier automatiquement ces images accidentelles, ce qui permet de les supprimer avant tout traitement ultérieur. Le modèle utilise des données d’entraînement provenant de 1 325 déploiements de caméras ainsi qu’un réseau entraîné, CaffeNet, spécialement modifié pour WildTrax. Cet outil permet de réduire le temps passé par les humains à passer en revue les images de mouvement de la végétation. Le modèle a été validé avec 121 déploiements supplémentaires de caméras et 79 451 photos accidenteles. Le modèle a identifié 34 456 (43,6 %) des photos accidentelles avec un taux d’erreur (faux positifs) de 0,2 %. Autrement dit, plus de 40 % des photos accidentelles peuvent être éliminés de manière fiable (erreur de 0,2 %) avant le traitement. Selon l’unité de caméra utilisée, la qualité de l’image et les résultats du type d’habitat peuvent varier.

Les images ne peuvent pas être supprimées individuellement dans WildTrax (y compris celles des humains) ; à la place, WildTrax vous permet de filtrer les images d’humains à l’aide des résultats du Megadetector (si activé dans les paramètres du projet) ainsi que de sélectionner des options pour activer le flou humain (peut être activé dans les paramètres de l’organisation).

Enregistreurs autonomes

La bioacoustique de la faune est l’étude des animaux qui produisent des vocalisations. Les motifs sonores, aussi appelés signature spectrale, permettent d’identifier des espèces et même des individus. Ces données sont utilisées pour répondre à des questions de recherche et de surveillance sur des espèces ou des groupes d’espèces.

La Bioacoustic Unit est une initiative née de la collaboration entre le Bayne Lab, l’Université de l’Alberta et l’Alberta Biodiversity Monitoring Institute. Notre groupe de recherche élabore des outils, des protocoles et des recommandations pour les programmes de surveillance acoustique menés aux quatre coins du pays.

La Bioacoustic Unit se sert de capteurs environnementaux robustes, appelés enregistreurs autonomes, qui sont essentiellement des microphones sophistiqués opérés par pile pour enregistrer les vocalisations produites par les animaux. Il y a des paramètres recommandés pour optimiser les enregistrements d’oiseaux, de mammifères et d’autres taxons.

La Bioacoustic Unit utilise les enregistreurs autonomes Song Meter de Wildlife Acoustics. Nous utilisons habituellement les enregistreurs autonomes de modèles SM2+ et SM4, et les modèles SM3, SM2 avec GPS et SM2+BAT à l’occasion. Les dispositifs activés par GPS permettent d’identifier des animaux avec plus de précision. Pour ce qui est des cartes mémoires, nous utilisons habituellement des cartes SanDisk de haute qualité. À l’occasion, nous utilisons des cartes Kingston de classe 4 et 10 SD.

Les médias de tous les types d’enregistreurs sonores numériques sont compatibles avec WildTrax, tant que le format de fichier est supporté par le système.

Cumulativement, plus d’espèces sont détectées si l’on se déplace d’une station à l’autre au sein d’une zone d’étude que si l’on écoute un grand nombre d’enregistrements provenant d’une seule station. Cela dit, la différence n’est pas très grande. Si le financement dont vous bénéficiez vous permet de visiter plusieurs sites, vous serez plus à même d’estimer les populations d’espèces présentes au sein de votre zone d’étude. Si toutefois votre budget est limité, et si vous vous intéressez à de multiples taxons (p. ex., des hiboux et des oiseaux chanteurs), vous pouvez laisser des enregistreurs autonomes à un même emplacement et prélever des sous-échantillonnages de manière répétée.

Pour les oiseaux chanteurs, il est recommandé de laisser fonctionner un enregistreur autonome pendant plusieurs jours plutôt que de prélever des échantillons à plusieurs reprises durant une même journée en vue de déterminer avec le plus de précision possible le taux d’occupation et la détectabilité de cette catégorie d’animaux. Il n’est pas particulièrement avantageux de laisser fonctionner un enregistreur autonome pendant un mois pour détecter les oiseaux chanteurs. Des données probantes indiquent toutefois que plus d’espèces peuvent être détectées si les efforts d’échantillonnage sont soutenus. Les hiboux, les amphibiens et les mammifères ont des comportements de chant très différents de ceux des oiseaux chanteurs.

La période d’échantillonnage minimale recommandée par la Bioacoustic Unit pour optimiser la détection de la plupart des espèces acoustiques est de trois à sept jours. On recommande que chaque échantillonnage dure au moins trois minutes et soit prélevé à l’aube ou au crépuscule à intervalle d’une journée.

La question est de savoir si l’on peut obtenir les mêmes résultats en écoutant un nombre identique d’enregistrements réalisés la même journée ou sur une période d’une semaine ou d’un mois. Règle générale, un échantillonnage d’une semaine permet d’estimer avec plus de précision la richesse spécifique à une station comparativement à un échantillonnage d’une journée. Nos tests sur les oiseaux chanteurs ont révélé qu’il n’y a pas de différence importante entre le fait de laisser un enregistreur autonome une semaine ou un mois au même endroit.

Cela dépend entièrement de la fréquence à laquelle une espèce chante. Pour vous assurer de détecter une espèce présente, servez-vous des estimations que le Project de modélisaiton aviaire boréal ont produites.

L’attribut écologique qui a l’effet le plus important sur le taux de détection est le taux d’appel, qui donne lieu à une variation de 49 % dans le taux de détection. La combinaison du taux d’appel, de l’abondance d’une espèce, de la période d’échantillonnage et du poids corporel estimé d’une espèce donne lieu à une variation de 69 % dans le taux de détection. Plus une espèce est abondante, plus sa détectabilité est élevée. Les espèces qui chantent la nuit ont un taux de détection moins élevé que celles qui chantent le jour. Les espèces plus imposantes ont généralement des taux d’appel moins élevés. En général, les espèces moins abondantes qui ont un poids corporel plus élevé et qui émettent des vocalisations peu fréquentes et/ou plus fréquentes durant la nuit ont un taux de détection moins élevé et doivent faire l’objet d’un échantillonnage plus approfondi.

Il y a des avantages manifestes à prélever des échantillons de manière répétée au même endroit pour estimer les tendances d’une espèce, car cela permet de déterminer avec plus de certitude la présence ou l’absence d’une espèce. Toutefois, le pouvoir statistique des tendances repose sur le nombre de sites et le nombre d’années observés.

Dans la première minute d’un point d’écoute de dix minutes, 49,8 % de toutes les espèces qui émettent des vocalisations sont détectées. Dans les cinq premières minutes, 79,2 % de toutes les espèces qui émettent des vocalisations sont détectées. Cela dit, si vous avez le choix entre dix échantillons d’une minute prélevés à divers moments de la journée ou de l’année et un échantillon de dix minutes, vous détecterez bien plus d’espèces dans les segments d’une minute.

L’utilisation de nombreux enregistrements de courte durée permet de détecter une plus grande proportion d’espèces.

Si seulement quelques échantillons parmi tous les enregistrements disponibles sont prélevés, tout porte à croire que les échantillons d’après-midi peuvent être écartés.

Des algorithmes de détection (aussi appelés reconnaisseurs) peuvent être utilisés si vous ciblez des espèces particulières. Lorsque les vocalisations sont visuellement distinctes et reconnaissables, le balayage manuel d’un spectrogramme peut aussi s’avérer très efficace. En un mot, un reconnaisseur est un modèle créé à partir de données d’apprentissage qui est ensuite apparié à un segment d’enregistrement des données de test. En savoir plus

Gestion de données et confidentialité

Pour héberger vos données et vos métadonnées dans WildTrax, vous devez d’abord créer une organisation. ar la suite, l’équipe de WildTrax prend connaissance de votre demande et vérifie votre identité. Vous pouvez ensuite créer des projets à partir de votre organisation nouvellement créée et y téléverser des médias.

Tout d’abord, il ne peut y avoir qu’une seule organisation par projet. Vous devez choisir l’organisation à laquelle appartiennent les données. Ce doit être celle qui recueille et téléverse les données. Le ou la propriétaire des données peut ajouter des membres à son projet et à son organisation, selon le niveau souhaité de collaboration.

Dans les paramètres de votre organisation, vous pouvez masquer vos sites par un rayon d’approximation avec lequel vous êtes à l’aise. Pour chaque projet que vous souhaitez rendre public, choisissez le statut Publié — Carte + Rapport. De cette façon, les utilisatrices et utilisateurs non autorisés ne pourront voir les médias ni les sites réels du projet.

Différents niveaux de permission et de confidentialité sont utilisés dans le système pour veiller à la sécurité de vos données. WildTrax est constituée de deux niveaux de base : administration et lecture seule. Poursuivez votre lecture pour obtenir de plus amples renseignements sur les modalités de chaque niveau

Dans WildTrax, l’organisation est le squelette de vos données. Elle contient vos sites, vos visites, votre équipement et les résumés de vos enregistrements acoustiques et de vos données d’images de vos projets.

Elle est constituée d’un groupe de personnes qui recueillent des données, publient des projets et gèrent de l’équipement et des équipes. Les administratrices et administrateurs peuvent consulter et modifier les sites réels d’une organisation, ajouter des utilisatrices et utilisateurs aux organisations et aux projets, consulter les métadonnées de visite et d’équipement et hériter de droits administratifs pour l’ensemble des projets relevant d’une organisation. Les membres ayant un accès en lecture seule peuvent consulter tous les sites réels, les métadonnées de visite et d’équipement et tous les projets de l’organisation.

Un projet consiste en une étude ciblée, un objectif à atteindre ou un apprentissage à faire grâce à des données provenant de capteurs environnementaux. Il comporte des données de sites et de visites et un ensemble de tâches pour atteindre l’objectif escompté. Les administratrices et administrateurs s’occupent de la gestion, de la coordination et de la publication des projets, et attribuent des tâches et accordent des droits aux utilisatrices et utilisateurs. Les membres ayant un accès en lecture seule peuvent consulter et télécharger des données en fonction du niveau de confidentialité du projet : Actif ; Test seulement — Masqué ; Publié — Privé ; Publié — Carte + Rapport seulement ; Publié — Public.

Choisissez le niveau Publié — Privé si vous ne souhaitez pas recevoir de demandes d’accès, et le niveau Actif si vous êtes en train de travailler sur le projet.

Les sites correspondent à des emplacements physiques où un ou des capteurs environnementaux sont déployés. Ils sont assortis de métadonnées de visite et d’équipement recueillies pour l’organisation. Les sites peuvent être masqués, approximatifs, réels/approximatifs ou réels. Ces options offrent une certaine souplesse au cas où certains sites nécessitent un niveau de confidentialité plus élevé.

Une tâche renvoie à l’attribution d’enregistrements ou de déploiements à des utilisatrices et utilisateurs à des fins d’identification et d’étiquetage. Un protocole d’étiquetage est rattaché à chaque tâche. Les membres ayant un accès en lecture seule peuvent obtenir des droits d’écriture dans une tâche pour procéder à l’étiquetage. Les administratrices et administrateurs d’organisations ou de projets peuvent aussi modifier les étiquettes dans les tâches. Les étiquettes sont ensuite répertoriées dans le tableau de vérification.

Les enregistrements ou les déploiements renvoient respectivement à un fichier audio ou à une série d’images provenant d’un enregistreur autonome ou d’une caméra déployée.

architecture

Choisissez le niveau de confidentialité Publié — Privé une fois que le projet est terminé. our qu’une personne ait accès à un projet, ajoutez-la en tant que membre du projet (elle aura seulement un accès limité à ce projet) ou de l’organisation (elle aura un accès illimité à tous les projets). Vous pouvez aussi retirer des membres d’un projet ou d’une organisation ou limiter leur accès à tout moment.

Actif

Test seulement

Publié — Privé

Publié — Carte + Rapport seulement

Publié — Public

Affichez les sites réels de votre projet. Vous pouvez les rendre approximatifs s’ils doivent demeurer confidentiels. Attribuez le statut Publié — Public aux projets terminés. Tout le monde sera en mesure de consulter les métadonnées et les médias des projets publiés et de télécharger un rapport sommaire du projet.

Dans les paramètres d’organisation, vous pouvez masquer les sites de vos projets, ce qui indiquera au système qu’ils sont approximatifs. Personne ne sera en mesure d’en déterminer l’emplacement réel, car cette information n’aura jamais été consignée dans WildTrax.

Pour devenir membre d’un projet particulier et pour qu’il s’affiche par défaut dans WildTrax, vous devez ajouter votre compte à ce projet. Vous n’avez qu’à cliquer sur le bouton à bascule « Voir uniquement mes projets » dans le coin supérieur droit pour voir les projets auxquels vous avez accès. WildTrax vise à réduire le nombre de projets qu’un utilisateur ou une utilisatrice voit à la fois. Autrement, cela porterait à confusion et la plupart du temps, on s’intéresse seulement à ses propres projets.

Les chercheur(-euse)s principaux(-ales) de l’organisation reçoivent toutes les demandes d’accès. S’il n’y a pas de chercheur(-euse)s affecté(e)s à l’organisation, les demandes d’accès sont acheminées aux administrateur(-trice)s de projet ou d’organisation.

Assurez-vous de déterminer une personne qui répondra à toutes ces demandes. Vous pouvez le faire dans les paramètres de l’organisation en affectant un utilisateur(-trice) comme chercheur(-euse) principal(e).

Toutes les données téléversées dans WildTrax sont privées par défaut et peuvent uniquement être consultées par les membres du projet selon les permissions qui leur sont accordées (administrateur ou lecture seule). Les administrateur(-trice)s de projet et d’organisation demeurent propriétaires de leurs données et titulaires du droit à la protection de leurs données, peu importe leur statut (données privées ou publiques). Quand vous téléversez des données dans WildTrax, vous avez l’option de les rendre publiques.